Malgré la propagande voulant nous faire croire (comme pour l'Afghanistan, l'Iraq et la Libye) que l'intervention militaire en Syrie aurait un quelconque but humanitaire, il s'agit (encore et toujours) d'une guerre pour le pétrole. Et en même temps, en signant des accords pétroliers avec l'Iran (2011) et la Russie (2013) - et non pas avec le Qatar, principal soutien financier des mercenaires étrangers déstabilisant la Syrie (certainement un hasard)-, Bachar Al-Assad ne pouvait pas s'attendre à autre chose qu'une réaction occidentale de ce type.