Citation
Frèrdogan a écrit:رجل عرف ربه
Salamo Aleykom à toutes et à tous,
C’est l’histoire d’un homme atteint d’une maladie incurable, là où il va une odeur nauséabonde ne le lâche jamais.
Il a consulté tous les médecins, et a fait tous les examens possibles : Nasales, du larynx, de l’œsophage, du foi etc… Et à chaque fois on ne trouvait rien.
Il prenait pourtant plusieurs douches par jour, et se parfumait mais à chaque fois qu’il sortait les gens le fuyaient comme la peste.
Pendant qu’un jour il pleurait sur sa vie poisseuse, un vieil homme le regarde et lui demande la raison de ses larmes. Le malade raconta son histoire, et le vieil homme lui dit que l’odeur ne venait peut-être pas de son corps mais de ses actes.
L’homme étonné, ne croyant pas un mot de ce que le vieux racontait, lui répond : Les actes ont une odeur maintenant ?
Le vieil homme lui dit : La sagesse Divine peut lever le voile parfois sur certaines choses qui nous sont d’habitude voilées, et Dieu doit t’aimer pour t’avoir diriger vers la porte de son repentir.
L’homme malade répondit : Effectivement, il m’arrive de voler, de boire, de trahir… Mais que dois-je faire pour me débarrasser de cette odeur.
Le vieil homme lui dit : La solution est maintenant évidente non ? Tu dois cesser de commettre ces actes !
L’homme s’est donc exécuté prêt à tout pour se débarrasser de cette odeur, sauf que le temps passe, et bien qu’il s’était calmé, l’odeur était toujours là. Alors il est retourné vers le vieil homme, qui lui dit : Tu as certes cessé tes péchés mais ceux du passé sont toujours là. Les bonnes actions effacent les mauvaises, alors tu dois rendre l’argent volé, faire des sadaqates autour de toi, accomplis le Hajj afin d’être purifié, et pleure de toutes tes forces en implorant le pardon à Dieu.
L’homme s’exécuta et a tout fait sans rien oublier, mais l’odeur persiste. Déprimé et fuit par tous. Il n’a trouvé comme refuge qu’un cimetière où il s’est installé. Pendant qu’il dormait il a vu en rêve les corps des défunts du cimetière fuir, eux aussi, son odeur. En se réveillant en sursaut, il se dirigea en pleurant vers le vieil homme et lui raconta.
Le vieil homme lui dit : Ces larmes ne te serviront à rien car ton cœur est plein de contradictions. Tu ne pleures pas par regret, mais tu pleures ce que tu crois être une injustice Divine envers toi. Tu accuses ainsi Dieu dans Sa Justice.
L’homme lui dit : je ne comprends pas !
Le vieil homme lui dit : Penses-tu que Dieu fut Juste envers toi ?
L’homme lui répondit : Je ne sais pas !
Le vieil homme lui dit : La Justice Divine est devenue un doute chez toi, et tu as tout retourné en faisant d’Allah le pécheur et tu t’es imaginé être innocent. De cette façon, tu ajoutais à tes péchés de nouveaux péchés pendant que tu croyais bien faire.
L’homme a répondu : Mais je pense vraiment que je suis Madhloum ( oppressé ).
Le vieil homme lui dit : Si tu avais accès à ce qui t’était voilé par Dieu, tu aurais vu que tu méritais un châtiment plus grand, et tu aurais su que les épreuves que tu as subies sont très en dessous de ce que tu aurais dû subir. Mais tu as accusé Allah d’injustice à ton égard et tu as refusé d’y voir plus clair. Continues de demander pardon, et essaies de purifier ton cœur et soumets ton visage ( Aslim wajhak ), car jusqu’à présent et même avec ton Hajj, ton jeûne, ta prière, et ton repentir tu n’es pas encore musulman.
L’homme lui dit : Je ne suis pas musulman ?
Le vieil homme lui dit : Oui tu n’es pas musulman, l’Islam est une soumission du visage avant toute chose, et cela ne se produit pas tant que tu n’as pas une approche totalement conciliante sans aucune contrainte ni réserve aucune en ce qui concerne ta relation avec Dieu. Et tant que le don et la privation d’Allah ne soit pour toi au même niveau, et que tu voies dans Sa privation la sagesse et la miséricorde de la même façon que tu les voies lorsque Dieu te comble de Ses bienfaits. Alors ne soit pas heureux par ce qui t’est offert, et ne t’attriste pas par ce qui t’es retiré, car la Justice Divine est constante et Sa miséricorde enveloppe tout, alors dis la ilaha illa Llah et sois droit, c’est cela l’Islam.
L’homme lui répondit : Je dis déjà la ilaha illah Llah tout le temps.
Le vieil homme lui dit : Tu la répètes avec ta langue mais ton cœur ne la dit pas en toute âme et conscience.
L’homme lui répondit : Comment ça ?
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Frèrdogan a écrit:رجل عرف ربه
Salamo Aleykom à toutes et à tous,
C’est l’histoire d’un homme atteint d’une maladie incurable, là où il va une odeur nauséabonde ne le lâche jamais.
Il a consulté tous les médecins, et a fait tous les examens possibles : Nasales, du larynx, de l’œsophage, du foi etc… Et à chaque fois on ne trouvait rien.
Il prenait pourtant plusieurs douches par jour, et se parfumait mais à chaque fois qu’il sortait les gens le fuyaient comme la peste.
Pendant qu’un jour il pleurait sur sa vie poisseuse, un vieil homme le regarde et lui demande la raison de ses larmes. Le malade raconta son histoire, et le vieil homme lui dit que l’odeur ne venait peut-être pas de son corps mais de ses actes.
L’homme étonné, ne croyant pas un mot de ce que le vieux racontait, lui répond : Les actes ont une odeur maintenant ?
Le vieil homme lui dit : La sagesse Divine peut lever le voile parfois sur certaines choses qui nous sont d’habitude voilées, et Dieu doit t’aimer pour t’avoir diriger vers la porte de son repentir.
L’homme malade répondit : Effectivement, il m’arrive de voler, de boire, de trahir… Mais que dois-je faire pour me débarrasser de cette odeur.
Le vieil homme lui dit : La solution est maintenant évidente non ? Tu dois cesser de commettre ces actes !
L’homme s’est donc exécuté prêt à tout pour se débarrasser de cette odeur, sauf que le temps passe, et bien qu’il s’était calmé, l’odeur était toujours là. Alors il est retourné vers le vieil homme, qui lui dit : Tu as certes cessé tes péchés mais ceux du passé sont toujours là. Les bonnes actions effacent les mauvaises, alors tu dois rendre l’argent volé, faire des sadaqates autour de toi, accomplis le Hajj afin d’être purifié, et pleure de toutes tes forces en implorant le pardon à Dieu.
L’homme s’exécuta et a tout fait sans rien oublier, mais l’odeur persiste. Déprimé et fuit par tous. Il n’a trouvé comme refuge qu’un cimetière où il s’est installé. Pendant qu’il dormait il a vu en rêve les corps des défunts du cimetière fuir, eux aussi, son odeur. En se réveillant en sursaut, il se dirigea en pleurant vers le vieil homme et lui raconta.
Le vieil homme lui dit : Ces larmes ne te serviront à rien car ton cœur est plein de contradictions. Tu ne pleures pas par regret, mais tu pleures ce que tu crois être une injustice Divine envers toi. Tu accuses ainsi Dieu dans Sa Justice.
L’homme lui dit : je ne comprends pas !
Le vieil homme lui dit : Penses-tu que Dieu fut Juste envers toi ?
L’homme lui répondit : Je ne sais pas !
Le vieil homme lui dit : La Justice Divine est devenue un doute chez toi, et tu as tout retourné en faisant d’Allah le pécheur et tu t’es imaginé être innocent. De cette façon, tu ajoutais à tes péchés de nouveaux péchés pendant que tu croyais bien faire.
L’homme a répondu : Mais je pense vraiment que je suis Madhloum ( oppressé ).
Le vieil homme lui dit : Si tu avais accès à ce qui t’était voilé par Dieu, tu aurais vu que tu méritais un châtiment plus grand, et tu aurais su que les épreuves que tu as subies sont très en dessous de ce que tu aurais dû subir. Mais tu as accusé Allah d’injustice à ton égard et tu as refusé d’y voir plus clair. Continues de demander pardon, et essaies de purifier ton cœur et soumets ton visage ( Aslim wajhak ), car jusqu’à présent et même avec ton Hajj, ton jeûne, ta prière, et ton repentir tu n’es pas encore musulman.
L’homme lui dit : Je ne suis pas musulman ?
Le vieil homme lui dit : Oui tu n’es pas musulman, l’Islam est une soumission du visage avant toute chose, et cela ne se produit pas tant que tu n’as pas une approche totalement conciliante sans aucune contrainte ni réserve aucune en ce qui concerne ta relation avec Dieu. Et tant que le don et la privation d’Allah ne soit pour toi au même niveau, et que tu voies dans Sa privation la sagesse et la miséricorde de la même façon que tu les voies lorsque Dieu te comble de Ses bienfaits. Alors ne soit pas heureux par ce qui t’est offert, et ne t’attriste pas par ce qui t’es retiré, car la Justice Divine est constante et Sa miséricorde enveloppe tout, alors dis la ilaha illa Llah et sois droit, c’est cela l’Islam.
L’homme lui répondit : Je dis déjà la ilaha illah Llah tout le temps.
Le vieil homme lui dit : Tu la répètes avec ta langue mais ton cœur ne la dit pas en toute âme et conscience.
L’homme lui répondit : Comment ça ?