Un homme se trouve dans le coma depuis un certain temps. Son épouse reste à son chevet jour et nuit. Un jour, l'homme se réveille. Il fait signe à son épouse de s'approcher, et lui chuchote :
- Durant tous ces malheurs tu étais à mes cotés : lorsque j'ai été licencié, tu étais là pour moi, lorsque mon entreprise a fait faillite, tu m'as soutenu, lorsque nous avons perdu la maison, tu es restée près de moi et lorsque j'ai eu des problèmes de santé, tu étais toujours et encore à mes cotés. Tu sais quoi ? Les yeux de la femme s'emplissent de larmes d'émotion.
- Quoi donc, mon chéri ? Murmure-t-elle, la gorge nouée.
Oui mais l'ingratitude des femmes est pire : Partir avec ton meilleur pote, ça seules les femmes peuvent le faire ! L'indifférence aussi, te faire attendre et puis un jour au détour d'une phrase, te dire calmement (j'ai déjà kelkun dans mon coeur !).
Non pas sur tout (je ne me laisse pas faire). mais c vrai qu'il y a 1 mois, je draguais (j'aime pas ce verbe) une superbe fille Isabelle, elle est venue chez moi 2 fois, elle a bu un vrai thé à la marocaine, discuté, rigolé, m'a remercié pour l'accueil. Je lui ai susurré que l'hospitalité marocaine n'était pas un vain mot. Ça s'annonçait bien, et puis un jour je lui ai envoyé un SMS ("bisous fougueux sur tes joues et sur lèvres". Elle me réponds "j'ai déjà kelkun dans mon coeur". Le fait qu'elle ait déjà kelkun dans son couer, ça je m'en branle, mais elle aurait pu me le dire avant que je ne commence à être à amoureux.
Etant marocain, et détestant cordialement les "râteaux" : je lui ai répondu : "Moi c'est ton corps qui m'intéresse, j'ai envie de le caresser, le masser, le malaxer, le triturer, le griffer, le mordre à pleines dents ! c mon désir le plus ardent.Je laisse à "l'autre" la délicatesse de porter soin de ton coeur. Tout ça en SMS. Je crois qu'elle a pris peur car elle n'a pas répondu et m'évite de plus en plus.
Les femmes attendent de l'assurance mâle, un peu de détachement : Il vaut mieux dire "je te désire", aller faire un tour et revenir plus tard récolterles fruits de son audace, plutôt que de passer des mois à dire à une fille magnifique qu'elle est magnifique : elle ne t'a pas attendu pour le savoir ! La drague est un exercice tautologique.
Armani a écrit: ------------------------------------------------------- > Non pas sur tout (je ne me laisse pas faire). mais > c vrai qu'il y a 1 mois, je draguais (j'aime pas > ce verbe) une superbe fille Isabelle, elle est > venue chez moi 2 fois, elle a bu un vrai thé à la > marocaine, discuté, rigolé, m'a remercié pour > l'accueil. Je lui ai susurré que l'hospitalité > marocaine n'était pas un vain mot. Ça s'annonçait > bien, et puis un jour je lui ai envoyé un SMS > ("bisous fougueux sur tes joues et sur lèvres". > Elle me réponds "j'ai déjà kelkun dans mon coeur". > Le fait qu'elle ait déjà kelkun dans son couer, > ça je m'en branle, mais elle aurait pu me le dire > avant que je ne commence à être à amoureux. > > Etant marocain, et détestant cordialement les > "râteaux" : je lui ai répondu : "Moi c'est ton > corps qui m'intéresse, j'ai envie de le caresser, > le masser, le malaxer, le triturer, le griffer, le > mordre à pleines dents ! c mon désir le plus > ardent.Je laisse à "l'autre" la délicatesse de > porter soin de ton coeur. Tout ça en SMS. Je crois > qu'elle a pris peur car elle n'a pas répondu et > m'évite de plus en plus. > >
Une fille qui a un mec et qui accepte ton invitation chez toi... A mon avis elle voulait jouer avec le feu comme la majorité des filles aujourd'hui. Un peu plus de tact et s'était bon... Et ensuite les même te disent "Faut pas me juger...bla bla bla", au secours!
Armani a écrit: ------------------------------------------------------- > Un homme se trouve dans le coma depuis un certain > temps. > Son épouse reste à son chevet jour et nuit. > Un jour, l'homme se réveille. Il fait signe à son > épouse de s'approcher, et lui chuchote : > > - Durant tous ces malheurs tu étais à mes cotés : > lorsque j'ai été licencié, tu étais là pour moi, > lorsque mon entreprise a fait faillite, tu m'as > soutenu, lorsque nous avons perdu la maison, tu es > restée près de moi et lorsque j'ai eu des > problèmes de santé, tu étais toujours et encore à > mes cotés. Tu sais quoi ? > Les yeux de la femme s'emplissent de larmes > d'émotion. > > - Quoi donc, mon chéri ? Murmure-t-elle, la gorge > nouée. > > - Je crois que tu me portes la poisse, connasse > ! >
Ouai une femme qui reste à tes côté après tout sa, tu sais déjà que c'est une blague... pas besoin d'attendre la fin.
En fait j'ai appris une chose : les femmes qui m'aiment me refusent leur corps car elles ont peur de me perdre. Elle utilisent alors toutes les armes à leur actif pour entretenir bien vivant le désir que j'ai pour elles. Quand j'y parviens, je ne les désire plus (ou plus pareil) car on ne désire pas ce qu'on possède ami lecteur. la vie est trop compliquée