• Les ratés de l’après Hoceima Sur les 14 communes endommagées dans la province d’El Hoceima, seules les familles sinistrées de la commune rurale d’Imrabten n’ont pas voulu retirer les aides prévues – 30 000 dirhams dont la moitié en numéraire et l’autre en matériaux de construction. Elles ont estimé que ce concours était insuffisant. Autre « couac », des architectes ont réclamé à l’administration une indemnité de 6000 dirhams par jour pour assurer le suivi de certains chantiers. Ce qui ternit quelque peu le formidable élan de solidarité nationale observé après le séisme du 24 février 2004.