Vendredi 22 avril 2016 M. Ban Ki-Moon,otage du lobby algérien(DAS/DRS) au sein du Secrétariat Général des Nations Unies? Avec des initiatives aussi saugrenues et des démarches aussi intempestives, comme celles qu'il vient d'entreprendre dernièrement à Tindouf,localité qui fait partie,par ailleurs,des régions marocaines annexées par l’Algérie,M.Ban Ki-Moon peut être certain qu'il a choisi le meilleur moyen de précipiter la région d’Afrique du nord dans une guerre dévastatrice de plusieurs années que seule la sagesse et l'immense patience des monarques marocains ont permis d’éviter jusqu'à présent . Mais, comme il y'a une limite à toute chose ... Par ailleurs,M. Ban Ki-Moon,devenu sous influence algérienne subitement et à la fin de ses mandats de SG, pas avant, partisan tardif d'un micro-état sahraoui,souffre-t-il à ce point de myopie intellectuelle ou d'un manque de discernement politique aussi flagrant pour ne pas remarquer,qu'à l'exception du havre de paix et pôle stabilisateur régional qu'est le Royaume millénaire du Maroc,tous les autres états (grands ou petits dont l'Algérie en tête ) nés de la décolonisation et situés dans la bande africaine sahelo-maghrébine s'étalant du Soudan à la Mauritanie se sont avérés être de fragiles et artificielles constructions,non viables sur le long terme puisqu'ils baignent depuis leur création dans une instabilité politique et une anarchie quasi permanentes dont malheureusement les populations civiles seules ont payé le prix fort(250 000 victimes en Algérie en dix ans d'une guerre civile cruelle et atroce qui n'est pas encore éteinte ). Ban Ki-Moon ne peut pas être partisan de la réunification de sa propre patrie la Corée et œuvrer a contrario pour la partition et la dislocation de la patrie des Marocains.Car,s'agissant du dossier dit du "Sahara occidental" et pour qu'il en ait une idée aussi précise que possible,il devait se rendre compte au préalable,à travers les documents officiels des Nations Unies,que les revendications territoriales du Maroc,relatives à la récupération de tous ses territoires Sahariens ou non sahariens,ne datent pas de 1975,année de la rétrocession de la colonie espagnole au Royaume suite à l'Accord maroco-espagnol de Madrid,mais ont été formulées bien des années auparavant c'est à dire au lendemain même de son indépendance en 1956.En se donnant la peine de consulter les archives diplomatiques espagnoles de l’époque des tractations coloniales européennes au sujet de "l'empire chérifien" ,il se donnera l'occasion d'apprendre par exemple que c'est seulement : En1919 que les Espagnols s’installent au Cap Blanc, à l’extrémité méridionale du Rio de Oro. Ifni ne sera occupée qu’en 1934, date à laquelle le haut commissaire d’Espagne au Maroc devient également gouverneur général des territoires d’Ifni, du Sahara occidental et du Rio de Oro. C'est a dire que les territoires expressément mentionnés comme confiés au haut commissaire d’Espagne au MAROC font partie intégrante en sus du nord marocain du territoire spécifiquement marocain objet des accords de colonisation et de partage conclus entre les puissances coloniales qu’étaient la France et l 'Espagne après que l’Angleterre et l'Allemagne aient été écartées du dossier Maroc moyennant compensations ailleurs. Mais pour avoir une approche aussi objective que possible de la question du Sahara,il faudra d'abord que M. Ki-Moon recouvre son autonomie d'appréciation dans cette affaire à l'égard du lobby algérien très agissant au sein du secrétariat général des nations unies sous la houlette du très influent M. Lakhdar Ibrahimi actuel occupant du poste d'adjoint du S.G mais qui fut également pendant plusieurs années ministre des affaires étrangères de son pays l’Algérie.Or,ce pays est l'instigateur unique de la prétendue affaire du Sahara occidental en raison d'un tout autre litige territorial non encore réglé l'opposant aussi au Royaume du Maroc et du fait qu'il convoitait une part du Sahara évacué par l'Espagne en 1975 que l'accord de Madrid ne lui a pas accordée(ouverture de désenclavement sur la façade atlantique).Il ne peut être question donc d'octroyer à ses ressortissants fonctionnaires des Nations Unies un quelconque bénéfice du doute pour qu'ils adoptent une attitude d'éventuelle impartialité dans un dénouement équitable favorable au Maroc dans cette affaire. La même réserve avec un évident conflit d’intérêt entache également la neutralité du médiateur Ross qui non seulement fut ambassadeur de son pays à Alger mais dont les accointances avec le milieu pétrolier algéro-américain ne sont un secret pour personne.
Tant de blabla sur ce Sahara Pourquoi le Maroc ne réclame pas à l'ONU Tindouf - Bechar - Hassi Massoud ? Pourquoi le Maroc n'ouvre pas une ambassade à Rabat pour les kabyles ?
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