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Passe-Partout a écrit:
Le bonheur d'avoir dompter cette envie de compter, Le bonheur d'être pauvre.
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**Minnie** a écrit:
Le bonheur d'être pauvre..... Les gens le font souvent passer pour un malheur
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Passe-Partout a écrit:
Le bonheur d'avoir dompter cette envie de compter, Le bonheur d'être pauvre.
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**Alaphilippe1** a écrit:
L’idéal est sans doute d’être pauvre (sans mourir de faim) sciemment, en aidant les autres...
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Passe-Partout a écrit:
Plus ta de l'argent plus t'en veux et plus tu oublie t'es priorité.
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Fleur de lotus** a écrit:
L'idéal serait d'être capable de faire preuve d'ascétisme.
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Fleur de lotus** a écrit:
Je n'irait pas jusque là.
La pauvreté reste une épreuve.
Mais ça permet d'acquérir une vision de la vie libéré du poids du matérialisme, si on en a la sagesse.
Et cette libération peut être un chemin vers le bonheur.
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Passe-Partout a écrit:
Pauvre dans le sens avoir de quoi vivre bien entendu.
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elhamdoulilah46 a écrit:
Salam
Ca me rappelle tout de suite e verset
"La course aux richesses vous distraient jusqua ce que vous visitiez les tombes " sourate takathur
"Par le temps l homme est certes en perdition , sauf ceux qui s enjoignent mutuellement l.endurance et qui s enjoignent mutuellement la patience " sourate al asr
El.hamdoulilah si jai bien une seule.qualité c est celle de ne pas avoir largent dans mon coeur ni le materiel ni fringues ni chaussures ni sacs....ca ne m.interesse pas et tant mieux.
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--soult-- a écrit:
" ni fringues ni chaussures ni sacs....ca ne m.interesse pas et tant mieux."
Ca existe des femmes pas interéssées par ces trucs ?
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Fleur de lotus** a écrit:
Je n'irait pas jusque là.
La pauvreté reste une épreuve.
Mais ça permet d'acquérir une vision de la vie libéré du poids du matérialisme, si on en a la sagesse.
Et cette libération peut être un chemin vers le bonheur.
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kamilaa a écrit:
Salam,
Selon Tolstoï, l'argent est une forme d'esclavage et il est vrai qu'il y a là une sorte d'asservissement qui s'impose insidieusement si l'on n'est pas soi-même maître de ses dépenses.
On en vient à dépenser de l'argent de manière effrénée et compulsive en oubliant le besoin de départ et l'on finit par tomber dans l'excès: dépenser de l'argent dont on ne dispose même pas.
L'argent doit avant tout être un moyen et non une finalité .