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L'intox de la presse algérienne est "une preuve de la panique"

La fausse nouvelle d'interception de soldats marocains à Tindouf, colportée par un journal algérois, est une "provocation significative d'un manque d'imagination et de la panique qui s'est emparée d'Alger" depuis quelque temps, a souligné M. Abbas El Fassi, Secrétaire général du Parti de l'Istiqlal (PI).

"Le gouvernement algérien ne sait plus quoi faire pour arrêter la mobilisation de pays, qui comptent au Conseil de sécurité, en faveur d'une solution politique (de la question du Sahara) qui garantit une paix durable dans la région", a-t-il ajouté dans un entretien publié mardi par le journal "Aujourd'hui le Maroc".

Réagissant à la course à l'armement dans laquelle l'Algérie s'est engagée, le leader politique a fait remarquer qu'il s'agit d'"une escalade déplorable qui envenime les relations entre les deux pays et bloque le processus d'édification de l'UMA", relevant, toutefois, que le Maroc demeure "sage et pacifique".

"Nous sommes sereins, parce que nous sommes dans notre droit. Nous ne nous battons pas pour nous emparer de ce qui appartient à autrui, mais pour préserver notre intégrité territoriale", a-t-il assuré.

Pour M. El Fassi, "toutes ces annonces d'achat d'armes et de fausses nouvelles sont le signe d'une agitation qui n'impressionne personne" et le bruit des bottes "appartient à une époque qui a déjà fait son temps".

Source : MAP

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