Le très conservateur Abouzaid El Mokrie El Idrissi appelle à mettre en application le principe de l’«Ijtihad» pour une révision des règles de l’héritage. Sa position modérée a de quoi surprendre alors que son parti, le PJD, rejette toute modification des principes religieux régissant cette question.
C’est désormais chose faite, le Maroc a expulsé 83 membres de la composante politique de la Minurso. Hier soir, un avion de l’ONU a atterri à Laâyoune pour les transporter vers Casablanca. Une 84eme fonctionnaire qui devait aussi être expulsée n’a pas pu embarquer car elle est enceinte. Après cette vague d’expulsions, il ne reste plus que cinq fonctionnaires de la branche politique de la Minurso au Sahara. Le 17 mars, la
Le hooliganisme a encore frappé au Maroc. Ce mal qui gangrène le football marocain a cette fois touché la ville de Casablanca. En un mois, la violence dans les stades a fait quatre morts.
Après plusieurs jours de tergiversations, Washington sort enfin de son mutisme pour se ranger du côté de Rabat, excluant de fait toute évolution du mandat de l'ONU sur la question du Sahara occidental.
Au Conseil de sécurité, le Maroc a gagné une bataille contre Ban Ki-moon mais la guerre reste ouverte. Le secrétaire général promet de rebondir ce lundi à l’occasion de sa réunion mensuelle avec les membres du Conseil de sécurité.
Le Maroc pourrait bientôt accueillir un terminal gazier russe, précisément à Jorf Lasfar. Un accord a été signé lors de la visite de Mohammed VI en Russie. Moscou entend bénéficier de sa présence au royaume pour conquérir le marché africain.
Le représentant du Polisario auprès des Nations met en garde contre une reprise des hostilités armées entre son mouvement et le Maroc. Ahmed Boukhari a averti à New York qu’un possible retrait de la Minurso du Sahara occidental serait «une invitation à la guerre». De toute manière, le Maroc n’a pas du tout envisagé un retrait total de la Minurso dans son bras de fer avec Ban Ki-moon. Seuls des membres de la
Le Conseil de sécurité évite l’escalade avec le Maroc. La réunion du jeudi, à huis-clos et d’une durée de trois heures, s’est conclue sans prendre de décisions concernant les sanctions prises par le royaume contre la Minurso. C’est plutôt un point positif pour le royaume. L’ambassadeur angolais Ismael Abraão Gaspar Martins, dont le pays assure la présidence tournante du Conseil de
Le Maroc a remis au secrétariat général des Nations Unies les noms de 84 membres de la composante politique de la Minurso. Une sanction accompagnée par l’arrêt de la contribution volontaire du royaume -estimée à trois millions de dollars par an- dans le fonctionnement de la mission onusienne. Justement cette dernière sanction était au cœur d’une réunion à huis clos, au Conseil de sécurité
Le Maroc renoue les contacts avec son premier partenaire économique. Une décision annoncée aujourd’hui par le gouvernement marocain. Un revirement alors que le 4 mars le royaume exigeait de l’Union européenne de «corriger» l’arrêt du 10 décembre de la cour de justice de l’UE.