Les détenus salafistes multiplient les sorties pour condamner le meurtre d’Imlil. Ils redoutent les répercussions du crime terroriste sur le cours du programme «Moussalaha», qui a permis à des dizaines de prisonniers islamistes de retrouver la liberté.
Le conseil municipal de Mohammedia reste sous le giron du PJD. La candidate des islamistes, Imane Sabir, a remporté l’élection qui s'est tenue ce lundi matin. Elle était, d’ailleurs, la seule candidate à succéder à Hassan Antra, un ancien de la Lampe, démis de ses fonctions suite à un verdict du tribunal administratif de Casablanca, saisi par le ministère de l’Intérieur. Et pour cause, son rival,
Vingt-quatre heures après l’arrestation par le BCIJ d’un Espagnol d’origine suisse, des médias ibériques reconnaissent que le détenu a bien obtenu la nationalité espagnole dans des circonstances indéterminées.
2019 sera une année électorale en Afrique du sud. Il ne faut pas s’attendre à un changement de la politique de ce pays au Conseil de sécurité sur la question du Sahara. Il y a deux semaines, son ministre des Affaires étrangères, Mme Lindiwe Sisulu, a déjà annoncé la couleur.
Depuis sa cellule à la prison d’Oukacha à Casablanca, Nasser Zefzafi appelle à l’organisation d’une marche à Bruxelles pour le 16 février. Le leader du Hirak du Rif souhaite la placer sous le thème «la femme rifaine une ligne rouge», rapporte le site Dalilrif qui cite le père de Zefzafi. La manifestation est un acte de solidarité avec les femmes de la région. Lors de sa conversation avec son
12 organisations de l’opposition en Mauritanie demandent aux autorités marocaines de procéder à la «vérification minutieuse» des accusations portées contre Mohamed Ould Bouamatou.
Paralysée par le différend du Sahara, l’Union du Maghreb n’a jamais réellement réussi à séduire ses membres. L’Algérie est la dernière à manifester un intérêt pour la CEDEAO.
Il y a sept ans et quelques semaines, le Maroc rappelait son ambassadeur en Syrie. Aujourd’hui, un nouveau contexte international semble se dessiner.
Saâd-Eddine El Othmani n’en démord pas : le bilan de son gouvernement en 2018 est positif.
Ce jeudi, le roi Salman a démis Turki Al Sheikh de ses fonctions de président de l’Autorité saoudienne générale des sports. Le «conseiller» de Mohamed Ben Salman peut se consoler d’avoir conservé la présidence de l’Autorité des divertissements. Une instance d’une importance capitale pour le pouvoir du jeune prince héritier. Elle est chargée de l’ «ouverture» du