La mythologie amazighe régissait la vie des habitants en Afrique du Nord. Ils avaient leurs héros, leurs dieux et leurs demi-dieux qu'ils vénéraient. Zoom sur trois de ces figures ayant été largement documentés dans les livres d'histoire.
En esta serie quincenal, Yabiladi regresa a un período delicado de la historia del reino donde varias partes de Marruecos, bajo los saadíes, estaban controladas por diferentes entidades. En esta segunda parte, la historia de la Zaouia de Illigh.
Dans cette série bimensuelle, Yabiladi revient sur une période délicate de l’histoire du royaume où plusieurs parties du Maroc, sous les Saadiens, étaient contrôlées par des entités différentes. Dans cette deuxième partie, l’histoire de la Zaouia d’Illigh.
En esta serie quincenal, Yabiladi vuelve sobre un período delicado de la historia del reino donde varias partes de Marruecos, bajo los saadíes, estaban controladas por diferentes entidades. En esta primera parte, la historia de la Zaouia de Dila.
Dans cette série bimensuelle, Yabiladi revient sur une période délicate de l’histoire du royaume où plusieurs parties du Maroc, sous les Saadiens, étaient contrôlées par des entités différentes. Dans cette première partie, l’histoire de la Zaouia de Dila.
Le 22 octobre 1956, la France coloniale toujours présente en Algérie, interpelle un avion en provenance de Rabat et à destination de Tunis, appartenant au Maroc. L’arrestation de cinq leaders du FLN algérien à bord de cette avion provoquera une grande crise entre le Maroc et la France.
El 22 de octubre de 1975, una resolución de la ONU ya anticipaba la organización de la Marcha Verde, que tendría lugar unos días después. En efecto, hacía un llamado a Marruecos y a España a sentarse en la mesa de negociaciones para discutir el futuro del "Sáhara español". Historia.
Le 22 octobre 1975, une résolution de l’ONU anticipait déjà l’organisation de la Marche verte, quelques jours plus tard. Elle appelait en effet, le Maroc et l’Espagne à la table des négociations pour l’avenir du "Sahara espagnol". Histoire.
El 19 de octubre de 1966, Ahmed Dlimi, adjunto del general Oufkir, quien era en ese momento ministro del Interior, viaja a Francia para entregarse a las autoridades en el marco del juicio relacionado con el secuestro de Mehdi Ben Barka. Tanto él como su superior estaban sujetos a una orden de arresto internacional emitida por las autoridades francesas, pero posteriormente fue absuelto.
Le 19 octobre 1966, Ahmed Dlimi, adjoint du général Oufkir, alors ministre de l’Intérieur, se rend en France pour se constituer prisonnier dans le cadre du procès suite à l’enlèvement de Mehdi Ben Barka. Il faisait l’objet, tout comme son supérieur, d’un mandat d’arrêt international émis par les autorités françaises mais sera, par la suite, acquitté.