Poeta excepcional y figura del sufismo en el Occidente musulmán, Aboulqassim Abderrahmane no imaginaba que la vida finalmente le sonreiría, cincuenta años después de haberle quitado la vista. Este nativo de Andalucía se convertiría así, por un breve período, en el erudito y sabio de la corte almohade del sultán Abou Yacoub Youssouf, antes de fallecer tres años más tarde.
Poète hors pair et figure du soufisme de l’Occident musulman, Aboulqassim Abderrahmane n’imaginait pas que la vie lui sourirait enfin, cinquante ans après lui avoir ôté la vue. Ce natif d’Andalousie deviendra ainsi, pour une courte période, l’érudit et savant de la cour almohade du sultan Abou Yacoub Youssouf, avant de décéder trois ans plus tard.
En octubre de 1963, mientras los tambores de guerra resonaban en las fronteras marroquí-argelinas tras el estallido de la Guerra de los Arenales, Mehdi Ben Barka, defensor del sueño de un gran Magreb, calificó este conflicto como «fratricida». Su postura le valdría una condena a la pena capital en ausencia y el título de enemigo número uno de Hassan II.
En octobre 1963, alors que les tambours de la guerre résonnaient aux frontières maroco-algériennes suite au déclenchement de la guerre des Sables, Mehdi Ben Barka, défenseur du rêve d’un grand Maghreb, avait qualifié ce conflit de «fratricide». Sa position lui vaudra une condamnation à la peine capitale par contumace et le titre d’ennemi numéro 1 de Hassan II.
Los días 14 y 15 de octubre de 1979, elementos armados del Frente Polisario atacaron una guarnición en Mahbés y sus 1,200 hombres del batallón de infantería de las FAR, que ya llevaban cuatro años desplegados allí. Fueron masacrados mientras dormían y los sobrevivientes fueron mostrados ante la prensa internacional al día siguiente. Historia de un drama.
Les 14 et 15 octobre 1979, des éléments armés du Front Polisario attaqueront une garnison de Mahbès et ses 1 200 hommes du bataillon d'infanterie des FAR, en poste depuis quatre ans déjà. Ils sont alors massacrés dans leur sommeil et les survivants exhibés devant la presse internationale dès le lendemain. Histoire d’un drame.
A lo largo de la historia, los marroquíes han erigido diferentes banderas y emblemas para distinguirse de otras potencias y naciones. De una bandera blanca, el emblema nacional pasó al rojo, que incluso fue el color predilecto de varias dinastías marroquíes.
Au cours de l'histoire, les Marocains ont érigé différents drapeaux et emblèmes pour se distinguer des autres puissances et nations. D’un drapeau blanc, l’emblème national est passé au rouge, qui était même la couleur fétiche de plusieurs dynasties marocaines.
Marruecos conmemora este 10 de octubre el Día Mundial contra la Pena de Muerte recordando que la última ejecución capital aplicada data de septiembre de 1993. Ese día, el tristemente célebre comisario l’Haj Tabit fue ejecutado por disparos en las cercanías de Kenitra tras un escándalo escabroso que conmocionó a la opinión pública en su momento. Historia.
Le Maroc commémore ce 10 octobre la Journée mondiale de lutte contre la peine de mort en se rappelant que la toute dernière peine capitale appliquée date de septembre 1993. Ce jour-là, le tristement célèbre commissaire l’Haj Tabit est exécuté par balles aux alentours de Kénitra suite à une affaire sulfureuse qui a choqué l’opinion publique à l’époque. Histoire.